À propos du CAC
Le CAC défend les intérêts des organismes de réglementation des valeurs mobilières, des organismes de normalisation, des organismes d’autoréglementation, des groupes industriels et des législateurs du Canada en publiant des lettres de commentaires sur les règles et les avis proposés. En outre, le CAC publie des » livres blancs » sur des questions qu’il juge d’importance nationale et participe à un certain nombre de groupes consultatifs d’utilisateurs. Les commentaires et les questions soulevées par le CAC sont examinés dans le cadre d’un test d’évaluation rigoureux et d’un débat entre ses membres. Le CAC travaille également en étroite collaboration avec le CFA Institute afin de coordonner les efforts de défense des intérêts généraux et spécifiques du Canada, le cas échéant, en plus de défendre le code d’éthique et les normes de conduite professionnelle du CFA Institute.
Membres du comité
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Formulaire de nominationStructure des rapports
Le CAC relève du Conseil d’administration de CFA Societies Canada.
Le Conseil d’administration de CFA Societies Canada désigne à son tour le Comité exécutif de CFA Societies Canada.
Parmi les responsabilités du Comité exécutif de CFA Societies Canada, mentionnons les suivantes :
- Superviser et approuver la gouvernance du Canadian Advocacy Council (CAC) et d’autres comités ou conseils approuvés par le Conseil ;
- Approuver l’admission des membres du CAC et des autres comités ou conseils approuvés par le conseil ;
- Recommander et superviser les budgets du CAC et des autres comités ou conseils approuvés par le Conseil ;
- Recommander des sujets de communication nationale aux sociétés membres du CFA Institute au Canada ;
Les membres du Comité exécutif de CFA Societies Canada sont encouragés à assister à toutes les réunions et conférences téléphoniques du CAC et à participer aux réunions dans leurs villes respectives.
Test décisif
fin de déterminer les questions pour lesquelles il engagera ses ressources, le CAC utilise un test décisif comme suit :
Canadian Advocacy Council
Test décisif
(23 février 2023)
Pour décider des initiatives que le Canadian Advocacy Council ( » CAC « ) devrait entreprendre, il faut analyser une variété de critères, en mettant en balance les possibilités de contribuer à une analyse et à une compréhension significatives et les ressources, intellectuelles et autres, dont dispose le CAC. De plus, étant donné la myriade de problèmes auxquels sont confrontés les marchés canadiens en général, et le secteur de la gestion des investissements en particulier, le CAC doit évaluer s’il est l’organisme le plus approprié pour traiter une question particulière.
Afin de fournir une orientation pour évaluer les initiatives que le CAC entreprendra, il est fait référence aux critères suivants. Bien qu’aucun critère ou combinaison de critères ne doive être considéré comme déterminant, la liste suivante fournira des points de repère utiles à partir desquels le groupe politique concerné au sein du CAC, en consultation avec son Comité de surveillance, pourra évaluer sa décision d’étendre ses efforts.
Pour décider d’entreprendre une initiative particulière, le comité exécutif du CAC tient compte : 1) de l’alignement des priorités, 2) de la possibilité d’influencer et 3) de la valeur relationnelle de l’initiative à la lumière de chacune des caractéristiques suivantes afin d’entreprendre les initiatives qui produiront les plus grands avantages pour les sociétés membres du CFA Institute du Canada, les membres du CFA Institute, les marchés financiers et la communauté des investisseurs en général. Par conséquent, une initiative est ensuite présentée au grand conseil après avoir pris en considération les caractéristiques suivantes :
- Niveau d’importance pour nos membres canadiens, y compris les sociétés membres ;
- Capacité de promouvoir des normes élevées d’éthique et de conduite professionnelle dans l’industrie de l’investissement, conformément au Code d’éthique et aux Normes de conduite professionnelle du CFA Institute, et aux autres normes pertinentes du CFA Institute ;
- Implications potentielles pour la profession d’investisseur sur les principaux marchés financiers ;
- Possibilité d’aborder les questions de protection des investisseurs ou de transparence de la divulgation ;
- Reconnu comme une source importante pour fournir les points de vue des professionnels de l’investissement ;
- Possibilité de faire avancer la politique du CFA Institute ;
- Pertinence des questions par rapport à la mission, à la vision et aux objectifs du CFA Institute ;
- Possibilité de diriger et de participer à un débat public sur des questions de politique actuelles et émergentes et d’influencer de manière significative et positive le résultat ;
- Importance des questions à la lumière des conditions de marché actuelles et en développement, de la législation, des réglementations ou des actions des organismes de normalisation ; et
- La capacité de refléter favorablement le profil du CFA Institute, du programme CFA, des membres et des détenteurs de charte du CFA Institute.
Histoire
Le CAC a été officiellement créé en juillet 1995, lorsque le Conseil canadien des analystes financiers (CCFA) a été officiellement constitué. Pendant les 23 années qui ont précédé la constitution en société, le CCFA a existé sous la forme d’un rassemblement informel des présidents des sociétés canadiennes. Le conseil était composé de deux délégués des sociétés de Toronto et de Montréal et d’un délégué de chacune des autres sociétés canadiennes. Le CCFA fonctionnait comme l’actuel Conseil des présidents où les dirigeants des sociétés pouvaient échanger des idées et des problèmes.
Le 4 juillet 1995, la CCFA a été constituée en organisme sans but lucratif en vertu de la Loi sur les corporations canadiennes. Elle partageait des bureaux avec la Toronto Society of Financial Analysts (TSFA) et utilisait les services de ses employés.
La CCFA avait les objectifs suivants
- Favoriser la communication entre l’Association for Investment Management and Research (AIMR) et les sociétés canadiennes,
- superviser, initier et coordonner les efforts de défense des intérêts canadiens de l’AIMR,
améliorer et construire sur les principes et les normes de l’AIMR.
Avant le 1er juillet 1995, le financement du CCFA était basé sur un pourcentage des cotisations des membres canadiens. Par la suite, le financement était basé sur les besoins du CCFA tels que budgétés sur une période de trois ans.
En vertu des règlements du CCPA, le Conseil canadien de défense des droits (CAC) a été créé. Il serait composé d’au moins un représentant de chaque société canadienne, choisi par celle-ci. Le président du CCFA et un cadre supérieur de l’AIMR seront membres d’office, sans droit de vote, du CAC. Le président du CAC sera choisi parmi les membres du CAC par les membres de ce dernier. Les membres du CAC étaient principalement les présidents des comités de défense des intérêts de diverses sociétés ou les présidents.
En février 1997, le CCFA a déménagé des bureaux de la TSFA et a loué des locaux pour son propre compte. Un directeur exécutif a été embauché pour examiner les questions de réglementation au fur et à mesure que le CAC jouait un rôle plus actif dans tout le Canada. Cette pratique s’est poursuivie pendant environ deux ans jusqu’à ce qu’après le départ du directeur exécutif, un consultant à temps partiel soit engagé pour soutenir le CAC pendant quelques années de plus.
C’est à cette époque (1997) que le CAC a commencé à éclipser la pertinence du CCFA. Peu de temps après, le CCFA a disparu et le CAC est devenu un comité permanent de l’AIMR. C’est également à cette époque que la composition du CAC a changé, passant des nominations des sociétés canadiennes (à savoir les présidents des comités de défense des intérêts) aux membres canadiens intéressés par les questions de défense des intérêts. Avec le soutien du personnel de l’AIMR, le CAC a joué un rôle plus important dans la défense des positions de l’AIMR et des membres canadiens au Canada.